Les huit comédiens, quatre femmes, quatre hommes, répètent sans relâche depuis le mois de décembre, pour la pièce en trois actes J’y suis, j’y reste, créée en 1950 par Raymond Vinci et Jean Valmy.

Une histoire un peu farfelue remplie de quiproquos. Au moment d’épouser Jules, Antoinette Mercier, dite Nénette, s’aperçoit qu’une aventurière a emprunté son identité pour se marier avec Hubert de Mont Vermeil. Elle se rend chez celui-ci, suivie par Jules. Mais en même temps, arrive un cardinal à qui l’on doit cacher la vérité. Le trouble est jeté dans ce vieux manoir du Périgord.

« Elle est drôle cette pièce. Nous l’avons déjà jouée en 1989 avec d’autres acteurs. Les réservations par téléphone sont possibles dès maintenant ; mais ne pas nous appeler après 20 h », plaisante la présidente

10 représentations :

• Les vendredis 10, 17, et 24 mars, à 20 h 30
• les samedis 4, 11, 18 et 25 mars, à 20 h 30
• les dimanches 5, 12 et 19 mars, à 15 h